Présentation

Qui sommes nous?

Une association d’apiculteurs créée dans un but de formation, d’information, et d’entraide autour de l’apiculture.
Deux lieux de rucher école animés par des apiculteurs bénévoles.
Un conseil d’administration composé d’apiculteurs amateurs et professionnels.

Qui peut adhérer?

Toute personne désireuse de découvrir le monde des abeilles et d’apprendre l’apiculture.

Pourquoi adhérer?

Apprendre les bases de l’apiculture sur deux années de formation.
Être accompagné dans ses débuts et tout au long de son parcours.
Se tenir informé des urgences sanitaires et des réformes administratives.
Assurer ses ruches.
Recevoir la revue « Abeilles & Fleurs ».
Commander du matériel professionnel au moment de l’AG.

Historique

La naissance de l’Entraide Apicole

L’association (Syndicat un moment) Entraide Apicole de la Vendée a été créée en 1979 à Champ Saint Père par une scission à l’intérieur de  l’Abeille Vendéenne, association unique des apiculteurs préexistante.

A l’occasion de la proposition de créer un groupement d’achat de matériel par un apiculteur des Deux Sèvres (Mr Joly), les partisans et adversaires de cette évolution se séparent en deux entités:

• les partisans créent l’Entraide Apicole de Vendée, (première Présidente Mme Rainglet)
• les adversaires continuent avec l’Abeille Vendéenne (certains membres adhèrent aux 2 associations)

Les réunions se passent à Champ Saint Père où le matériel provenant d’abord de la maison Lerouge puis Route D’Or puis à nouveau Lerouge est mis à disposition des membres par l’EAV.

C’est le groupement d’achat qui fait le succès au début de l’EAV.

41 ans plus tard, l’EAV compte plus de 250 adhérents possédant un total de plus de 3000 ruches essentiellement sur le territoire vendéen et s’appuie sur ses membres impliqués au niveau de la pédagogie de l’abeille et de l’apiculture, la gestion administrative et de la vie de l’association.

Depuis le 1er janvier 2016, l’EAV adhère à L’UNAF (Union Nationale de l’Apiculture Française) qui regroupe aujourd’hui une centaine de syndicats départementaux de métropole et d’outre-mer qui représentent 20 000 apiculteurs, soit environ 500 000 ruches